The Maniac

This is a very good psychological thriller from Hammer. The use of a 'blow torch' is particularly effective. It is set in the Camargue district of southern France and concerns a vacationing American artist Jeff Farrell (Kerwin Mathews) who becomes involved with Eve Beynat (Nadia Gray).The Blu Ray has good extras, but no commentary track.

Came on time looks good but it said it came with a poster but it didn't .

Ce film en noir et blanc et en cinémascope réalisé en 1963 par Michael Carreras sur un scénario de Jimmy Sangster et une musique de Stanley Black est une pépite méconnue des Studios Hammer.Il s'agit d'un film franco-britannique où vous ne retrouverez pas les monstres qui ont fait la gloire des illustres studios anglais.L'action se situe en Camargue et a été tourné en partie en extérieurs (la Camargue et la ville d'Arles) et dans les studios MGM de Londres.On y retrouve une atmosphère à la Clouzot avec le trio habituel le mari , la femme et l'amant (avec en prime la belle-fille). L'histoire semble se dérouler tout à fait normalement lorsque tout à coup le film bascule et que les masques tombent. Michael Carreras filme avec beaucoup de précision les faits et gestes de ses personnages lesquels semblent toujours arriver à leurs fins sauf que...Qui dont suspecter l'amant américain? (le très beau Kerwin Matthews personnage lâche et veule), la femme du maniaque interné dans un asile psychiatrique incarnée par la très chic et très sexy actrice française Nadia Gray qui joue très habillement son rôle? le maniaque qui s'est échappé de l'asile? La seule qui est à écarter est la belle fille très bien interprété par une autre actrice française Liliane Brousse.Je vous conseille fortement de voir ce film parmi les meilleurs des thrillers psychologiques.A noter enfin que la copie du film est de toute beauté.

Hammerfilm hat neben den ganzen Dracula, Frankenstein und anderen Monsterfilmen auch eine Reihe wirklich spannender Psychothriller gedreht. Diese fielen dadurch auf, dass sie bewusst alle in S/W inszeniert wurden. Ausgelöst wurde diese Welle natürlich durch den 1960 inszenierten Streifen Psycho. 1963 entstand dann "the Maniac" in wirklich exzellenter Bildqualität. Hier für zeichnete sich beim Drehbuch Jimmy Sangster verantwortlich. Die Story ist wirklich heute noch originell und besticht durch exzellente Bildsprache und ein klasse Skript. (Ähnlich wie auch schon bei " Never take Sweets from a Stranger" oder " Ein Toter spielt Klavier") Der letztere dürfte zu den bekanntesten Hammerthrillern zählen. The Maniac hat aber irgendwie so eine ganz eigene Art und sticht ziemlich heraus. Auch ist er völlig kitschfrei und eher trocken inszeniert. Für mich persönlich einer der cleversten und qualitativ wertvollsten Perlen aus der Hammer-Schmiede. Das English ist gut verständlich, so dass man der Handlung leicht folgen kann. Wer auf Thriller dieser Art steht, wird nicht enttäuscht und die Bombe platzt natürlich ganz zum Schluss. Eher schon 8 statt 5 Sterne!

Cette série noire produite par la Hammer et réalisée par Michael Carreras, l'un des realisateurs vedette de la firme mythique ne restera pas dans les annales. J'adore pourtant ces intrigues ou un malheureux quidam se retrouve embringué dans les rouages d'une manipulation menée par une femme forcément fielleuse. L'histoire se tenant dans le sud de la France, la plupart des acteurs (sauf la vedette américaine) parlent entre eux en anglais avec un accent Assimil Junior à couper au couteau. Malheureusement, malgré un twist final qui se voudrait malin, on se doute depuis un moment qu'il y a anguille sous roche et, encore plus malheureusement, le chemin pour nous mener jusqu'à là est par moment surjoué à un point tel que par instants on se croirait dans du théatre filmé. Très dispensable donc. 1.5 / 5